[vc_row][vc_column][vc_single_image image=”3029″ alignment=”center”][vc_column_text]Référence: Perez, Benito, “Inquiétudes pour les détenus sahraouis”, le courrier, 27 septembre 2019.
Droits humains : Les représailles marocaines contre Claude Mangin et son mari, le militant sahraoui Nâama Asfari, inquiètent les experts onusiens. Sous l’impulsion de sa commissaire Ana Racu, le Comité des Nations Unies contre la torture (CAT) a annoncé cet été sa prochaine visite dans les prisons marocaines. Depuis 2016, et la condamnation de Rabat par cette instance onusienne, M. Asfari et ses dixhuit camarades ont vu leurs conditions de détention se dégrader. Purgeant une peine de trente ans d’incarcération, Nâama Asfari n’a pu voir son épouse qu’une seule fois en trois ans. La Française, à nouveau expulsée à son arrivée au Maroc en juillet dernier, était la semaine dernière au Palais des Nations à Genève pour faire avancer de nouvelles plaintes individuelles adressées au Comité de l’ONU contre la torture (CAT).[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width=”1/3″][vc_column_text]Inquiétude pour les détenus sahraouis – article[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width=”1/3″][vc_column_text]La crise des droits humains au Sahara Occidental[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width=”1/3″][vc_column_text]Situation des 19 prisonniers politiques sahraouis de Gdeim Izik[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][/vc_row]